par C’est ce qui a été indiqué par Madame Claudine AHISHAKIYE, Directrice de l’Autonomisation de la Femme et de la Promotion de la Fille au Ministère de la Solidarité Nationale, des Affaires Sociales, des Droits de la Personne Humaine et du Genre lors de l’ouverture de l’atelier d’Evaluation à mi-parcours (2019-2023) du Programme National de Renforcement des Capacités Economiques de la Femme au Burundi (2019-2027) tenu en dates du 26 au 27 juin 2023 à Bujumbura.
Pour que l’autonomisation économique des femmes soit significative, ces dernières doivent jouir pleinement de leurs droits et apporter des changements dans le sens d’améliorer leur statut socioéconomique et leur bien-être, a-t-elle mentionné ! Elle a précisé que cela fait inclure également le pouvoir de participer à la prise de décision dans tous les secteurs de la vie nationale et à tous les niveaux.
A la cinquième année d’existence dudit Programme, des interventions diverses ont été accomplies par différents secteurs étatiques et non étatiques, à travers des projets et activités, tous concourants au relèvement économique des femmes et des filles burundaises.
Elle a cité à titre d’exemple la mise en place de la Banque d’Investissement et de Développement pour les Femmes (BIDF), l’élaboration et la mise en œuvre du projet d’appui à l’autonomisation socioéconomique de la femme au Burundi, l’appui aux initiatives des femmes et des filles pour réaliser les activités génératrices de revenus en vue de leur auto prise en charge et autres projets et activités réalisées dans différents domaines.
Au moment où il reste 3 ans de mise en œuvre du programme, Madame AHISHAKIYE a interpelé les participants à documenter toutes leurs réalisations par axe, partager les bonnes pratiques utilisées dans l’accomplissement des objectifs fixés et ainsi échanger sur les stratégies d’amélioration d’interventions y relatives.
